Mao Lin Hospital
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 Iris Reinsworth.

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Iris Reinsworth

Iris Reinsworth


Messages : 8
Date d'inscription : 24/09/2009

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MessageSujet: Iris Reinsworth.   Iris Reinsworth. Icon_minitime1Sam 26 Sep - 12:15

—N°157

    « Naraku no Hana »



    VOIX : Akiko Shikata — Chant ci-dessus.
    APPARENCE : Ozoi, Nijiura Maids.
    JE/TU : Atakushi, Anata.

    NOM : Reinsworth.
    PRÉNOMS : Iris K. N. [ Iris Karen Nancy ] ou, plus communément, n°157.
    SURNOM : Le coquelicot.
    ÂGE : Treize ans.
    RAISONS DE L'INTERNEMENT :
    SYNDROME DE CARRIE WHITE : Ou, 'gêne récessif TK', ou encore, scientifiquement ' Une Science Oubliée, la Télékinésie'. Iris possède le don de pouvoir déplacer des objets ou des êtres vivants par la simple force de sa volonté et d'exercer une attraction sur eux. Telle l'héroïne du célèbre thriller de Stephen King, Carietta Margaret White, le gêne TK s'est présenté extrèmement nuisible chez la jeune Iris. Coupures d'électricité, vitres et miroirs brisée, portes cassées, même des victimes humaines sont à déplorer. Déployée au maximum de ses capacités, la télékinésie pourrait entraîner d'énormes catastrophes pouvant aller jusqu'à la destruction d'une ville entière. Pour ce fait, Iris peut être considérée comme l'une des patientes les plus dangereuses de Mao Lin Hospital, ce qui explique pourquoi elle est constamment isolée et tenue de force à l'écart.

    AUTISME : Iris a été considérée, dès sa plus petite enfance, comme une enfant autiste. L'autisme est un trouble du comportement qui se manifeste par une inadaptation à l'environnement social et familial et une impossibilité à communiquer avec autrui. La jeune fille vit reclue, dans un monde qu'elle s'est fabriquée, au milieu de livres et d'écriture, sans aucun contact extérieur.

    FONCTION : Patiente.
    ACCENT : Kansai.


    — PHYSIQUE :

    « Je suis la Fleur de l'Enfer, la Fleur qu'on ne peut cueillir, la Fleur qui n'a jamais cessée d'être fanée. »

    Grâce ou disgrâce ? Elle a toujours été belle, pourtant son entourage la trouvait laide. Son visage a autrefois été pur, ce sont les autres qui l'ont souillé. Iris est d'une beauté rare, la beauté qu'on ne voit pas à l'œil nu, mais la beauté qu'on voit avec son cœur. Extérieurement, Iris peut-être considérée comme affreuse. Un corps maigre et décharné, un teint aussi pâle que celui d'un cadavre, une étonnante masse de cheveux noir comme les plumes d'un corbeau constamment en bataille, et enfin, des pupilles écarlates et injectées de sang. Iris est si maigre qu'on se demande à tout moment si une brise ne va pas l'emporter au loin, ou si les os de ses gambettes - parfaitement visibles à travers le peu de peau qui les enveloppe - ne vont pas tout d'un coup se briser en milles morceaux. Vous l'aurez deviné, Iris ne mange rien depuis qu'elle est arrivée à l'hôpital Mao Lin. Autrefois, elle était une ravissante jeune fille bien portante aux formes généreuses, mais maintenant, même l'opulente poitrine qu'elle aurait dû soi-disant posséder semble même avoir disparu.

    Iris est de taille moyenne, plutôt normale pour son âge, ce qui ne fait qu'accentuer l'effet de sa maigreur. Son visage, quant à lui, est de forme pointue, au petit menton en « v » et aux joues creuses. Ses yeux sont énormes, ils prennent pratiquement toute la place du haut de son visage, mais leur couleur est de loin leur particularité la plus étonnante. Écarlate. Rouge sang. On pourrait croire que c'est impossible et qu'elle porte des lentilles de contact, mais pourtant, c'est la triste vérité. Cette couleur serait due au fait que ses yeux ont été trop longtemps injectés de sang, ce qui a donné à leur iris cette anomalie. Un petit nez placé très bas au niveau de la tête, et une bouche toute aussi petite aux lèvres minces couronnent parfaitement le tableau !

    Sa chevelure, quant à elle, est longue. Très longue, même, lui arrivant jusqu'au bas des fesses. Épaisse et ondulée, elle n'est - presque - jamais coiffée, et de multiples nœuds y ont pris place. Pourtant, ça ne semble pas déranger Iris. Côté vestimentaire, Iris ne porte que du noir, ou du rouge, et exclusivement des robes. On pourrait dire qu'elle suit le mouvement "Gothic Lolita", mais elle n'en a même pas conscience. On est même pas sûr qu'Iris apprécie ce qu'elle porte. Elle le porte, c'est tout. Sans réfléchir. Comme tout le reste.

    — CARACTÈRE :

    « Gentil coquelicot, Mesdames, gentil coquelicot ... »

    Une fleur qui se fane lorsqu'on la cueille ... Voilà ce qui définirait le caractère ô combien complexe d'Iris Karen Nancy Reinsworth. A première vue, c'est une enfant calme et réfléchie, repliée sur elle-même comme tous les autistes. Si on ne la perturbe pas, elle peut-même se montrer extrêmement gentille ... à sa façon. Il est rare qu'on entende le son de sa voix, ou qu'on aperçoive un sourire se dessiner sur ses lèvres. Par contre, il lui arrive de chanter lorsqu'elle est seule. Des chansons douces, des chansons enfantines, celles que lui chantait sa maman ... D'une voix anormalement mélodieuse. Les rares occasions où on peut l'entendre parler, sa voix peut nous sembler sèche et stridente, mais il en va d'une toute autre histoire lorsqu'il s'agit de chanter.

    Inutile de préciser qu'Iris est également très, très intelligente. Le nez dans les bouquins la plupart du temps, son cerveau semble avoir assimilé une énorme quantité de connaissance. Évidemment, c'est une simple théorie scientifique, étant donné que depuis toute petite, ses résultats ne sont pas fameux. Elle voit le monde à sa façon, et sa façon de voir est très différente de celle d'humains "normaux", ce qui fait que ses idées ne sont pas reçues et reconnues par autrui. Sa pensée est unique, elle est la seule à voir les choses de cette manière ... Et, étrangement, cette manière de penser se révèle être le fruit d'un Q.I largement supérieur à la moyenne. Si elle n'était pas autiste, elle pourrait sûrement devenir une scientifique de haute renommée.

    Ses idées sont saugrenues, parfois malsaines d'après le jugement de son entourage. Par exemple, elle soutient l'existence d'un Royaume des Morts, et prétend qu'elle peut parler aux défunts. A sa mère, plus particulièrement. Elle pense que chaque chose est dotée d'une âme, et qu'à la mort, cette âme s'en ira rejoindre les cieux si elle est pieuse, ou les flammes ardentes de l'enfer, où elle se régénérera en tant que « Naraku no Hana » . Naraku no Hana, la Fleur de l'Enfer. Un coquelicot rouge sang qui poussera sur une terre souillée par le péché. Tout comme elle. Selon elle, il ne faut pas lui ressembler si on veut avoir une chance d'atteindre les cieux.

    « Je suis une mauvaise personne. » Iris s'auto-définit comme telle, en raison de son instabilité mentale. Haïe et torturée psychologiquement par des camarades de classe haineux durant toute son enfance, elle a développé des crises de paranoïa excessifs par la suite, et peut-être persuadée que le monde entier est contre-elle. Donc, n'essayez pas de la déranger et de tenter de l'extirper de la "bulle" qu'elle s'est construite, vous pourrez le regretter. Voyez, Iris utilise le gêne TK comme un moyen de se défendre la plupart du temps, et il n'est pas rare de la voir exploser littéralement, créant des dégâts matériels et physiques tout autour d'elle. Très violente dans ce genre de moments, elle pourrait aller jusqu'à donner la mort. Heureusement, quelque chose comme cela ne se produira sûrement pas, non ? A l'hôpital Mao Lin, ne sommes-nous pas rigoureusement encadrés ?



    — HISTOIRE :

    « Il était une fois ... »

    ... Une petite fille de cinq ans. Elle était assise, là, dans le jardin de la demeure familiale, un livre sur les genoux, la tête appuyée contre les mains, pensive. Sa mère s'affairait à préparer le déjeuner, et l'odeur de la quiche lorraine se répandait dans le jardin entier, peut-être même aux alentours. Quant à son père, il travaillait sur une nouvelle expérience. Comme d'habitude. Elle, elle lisait. Très tôt, ses parents se sont aperçus qu'elle n'était pas une enfant normale, une enfant comme les autres. D'après les médecins prenant en charge son cas, Iris Karen Nancy Reinsworth - car c'est ainsi qu'elle se nommait - était née enfant autiste. Pourtant, cela n'empêcha pas ses parents de l'aimer d'un amour sans bornes. Tout leur argent visait à l'occuper, à lui acheter de beaux vêtements, des jouets de son âge, des feuilles pour faire du coloriage .. Pourtant, elle n'aimait pas ça. Elle détestait ça, même. Elle préférait lire, et écrire. Des poèmes. Du haut de ses cinq ans, Iris écrivait et lisait parfaitement bien des livres d'adultes, et était capable de manier les vers et le monde de la poésie avec une grâce incomparable. On supposait qu'elle était surdouée, et on ne l'envoya pas de suite à l'école. D'abord, elle suivit des cours par correspondance, des cours "basiques", typiques de l'école maternelle où elle aurait dû aller. Pourtant - au plus grand malheur de ses parents - ses résultats étaient étrangement bas, et l'hypothèse de la surdouée fut écartée.

    Elle ne le savait pas encore, mais en ce jour d'été ensoleillé où elle lisait paisiblement dans le jardin, une autre révélation allait bouleverser sa vie.
    - Maman ...
    Un simple mot, si commun, mais pourtant si difficile à prononcer pour la petite Iris. Qui était Maman ? Elle ne le savait pas, il lui était impossible de construire toute relation sociale. Elle avait juste le souvenir de cette femme qui lui préparait à manger et lui achetait des gâteaux au goûter. Et, parait-il, il fallait qu'elle l'appelle Maman.
    - Maman ...
    Elle avait parlé d'une voix très basse, et pourtant sa mère réussit à l'entendre, et passa sa tête à travers la petite fenêtre donnant sur l'extérieur.
    - Maman, le livre ...
    A présent, le livre n'était plus posé sur les genoux de la fillette. Il ne se trouvait nulle par sur la terre, d'ailleurs. Il était suspendu en l'air, quelques centimètres devant Iris, juste à la hauteur de sa tête. Elle ne semblait pas se rendre compte que le phénomène était anormal, parce qu'aucun signe de panique ne se lisait dans ses grands yeux noirs - car à l'époque, ils l'étaient. A la simple vision de ce qu'il était en train de se passer, laissant échapper un cri strident, la mère d'Iris se rua sur la petite fille, n'hésitant pas à enjamber la fenêtre et à déchirer sa jupe.
    - Oh, mon Dieu .. murmura-t-elle, les yeux pleins de larmes.
    Juste après avoir prononcé ces quelques mots synonymes de panique imminente, elle saisit Iris par la taille et la ramena à l'intérieur. Dès que sa mère l'eut touchée, le livre retomba lourdement sur le sol, tandis qu'Iris tendait un petit bras désespéré en sa direction.
    - Maman, mon livre...
    Sa mère ne lui prêta pas attention, et s'engouffra dans la maison, Iris sous le bras.

    De sa démarche saccadée, elle arrive au portail de l'établissement. Elle a maintenant sept ans, et porte un uniforme à la sailor entièrement noir. Elle a été admise dans un établissement de la ville, et c'est son premier jour d'école. L'école ... Elle sait ce que c'est, évidemment. Mais comment y vivre ? Quelles mœurs adopter ? Elle va faire comme dans les livres, et tout ira bien ! ... Ou presque. Voilà deux ans que la première manifestation du syndrome "Carrie White" a eu lieu, et il ne s'est plus re-manifesté depuis. Mais, sait-on jamais ... Un homme en costume vient lui ouvrir. Un professeur, sûrement. Mais Iris ne sait pas où aller, elle garde son livre serré contre sa poitrine. L'homme lui adresse un sourire qui se veut rassurant, avant de lui prendre la main. Iris rougit. Pas de honte, ni de timidité. C'est la première fois qu'un homme - hormis les médecins - la touche. Elle se sent toute drôle, et se laisse entraîner à l'intérieur du bâtiment, les yeux rivés vers le sol. Savait-elle, à cet instant, qu'elle venait de faire la plus grosse erreur de sa vie ?

    - Dis, Iris, tu es une fée ?
    La petite blonde se pencha vers Iris, dans un petit coin de la cour de l'école, où la fillette adorait venir entamer une lecture. Un groupe d'écoliers étaient amassés autour de leur camarade, et la regardaient avec des yeux suspicieux.
    - Ma maman m'a dit que tu avais fait griller la lampe du couloir de l'établissement. Tu es une fée, Iris ? Tu sais faire de la magie ?
    Lydia, la fille de la concierge de l'école, la fixait d'un air émerveillé.
    - Une fée ?! Plutôt une sorcière !
    Une autre fille s'approcha d'elle, une rousse aux tâches de rousseur qui lui recouvraient tout le visage, et qui semblait peu enthousiaste à l'idée qu'Iris puisse être une créature bénéfique comme une fée.
    - Shameeka, tu dis n'importe quoi ! riposta Lydia, aussitôt. Iris sait faire de la magie, c'est donc une fée, pas vrai, Iris ?
    - Les sorcières aussi savent faire de la magie ! Les fées peuvent créer toutes sortes de choses, tandis que les sorcières ont reçut le don de détruire ! Iris a détruit une ampoule, c'est donc une sorcière !
    Lydia resta silencieuse cette fois. Il fallait bien admettre que jamais une fée n'aurait fait une chose pareille.
    - Regarde ses cheveux ! Sa peau ! Son regard !
    A ces mots, la dénommée Shameeka saisit Iris par la queue de cheval et essaya de la tirer violemment de son banc. La fillette poussa un cri de douleur.
    - Tais-toi, sorcière ! Tu sais ce qu'on faisait des sorcières ? On les brûlait ! Et c'est ce qu'on va te faire !
    Pas vrai, vous autres ?
    - Mais, elle ... murmura Lydia d'une voix douce, tenant de freiner les ardeurs de son amie.
    - Tu veux que la sorcière te jette un sort ? Il faut la brûler !
    - C'est vrai ! s'exclama un jeune garçon de la foule avec véhémence. Elle ne parle jamais, ne sourit jamais, jamais nous ne l'avons vu rire ! C'est parce que les sorcières ont un cœur de pierre, elles ne rient pas !
    - Mon papa m'a dit de ne pas la fréquenter, il paraît qu'elle est folle .. murmura une autre personne.
    - Vous voyez ? rétorqua Shameeka, une pointe de mépris dans la voix, sans pour autant lâcher Iris. C'est une sorcière ! Tu veux devenir amie avec la sorcière, Lydia ?! Et devenir comme elle ?!
    - Non, pas du tout, je ..
    - Alors, pousse-toi.
    Lydia s'écarta, ainsi que le reste de ses compagnons.
    - Maintenant, voyons si ta magie va t'aider, cette fois .. !
    Jamais Iris ne pourra effacer de sa mémoire les séquences qui vont suivre. Ils criaient, ils criaient dans ses oreilles. Toujours le même mot. Sorcière ...

    ~~~


    (Partie hors-jeu :)

    PSEUDO : Iris K. N. Reinsworth.

    ON VOUS CONNAIS ? Possible. ;)

    AITOTOBA : IL EST BON. ON L'CACHE.



Dernière édition par Iris Reinsworth le Sam 26 Sep - 18:02, édité 1 fois
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Ousamu Tetsurou
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Localisation : À une table parce que tout ce qui est intéressant se fait devant une table. Euh... Non?^^"

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MessageSujet: Re: Iris Reinsworth.   Iris Reinsworth. Icon_minitime1Sam 26 Sep - 16:07

Buon, AKHTS ne sait jamais qui est qui et qui vient d'où ici, alors... XD J'devrais peut-être faire une rubrique "Comment avez-vous connu le fow" ou un truc du genre mais... *Se gratte la tête* ...Anyway.^^' Welcowme! (EDIT : Les adresses e-mail et la tricherie d'un admin sont décidément bien utiles. *SBAF* XD J'connais, ça me paraîtra déjà moins gênant. *Bows*)

Et merci pour cette belle musique dans mes oreilles. TwT Dios mio, j'aime celle-là. J'avais pensé à la mettre en musique d'ambiance ici dans l'avenir, mais... XD On a encore le temps et un répertoire plein.
Assez de blabla.

Le présento est nickel, donc commence à RPer quand tu veux~.^^
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